"Depuis 2006, Nous travaillons avec la Commission de l'océan Indien pour établir une politique Genre dans le domaine politique, économique et contre la violence faite aux femmes et les jeunes filles. Je participe à cette rencontre en tant que responsable du Genre".
"Nous sommes ici pour voir les dispositifs mis en place à La Réunion, et aussi pour partager l'expérience rodriguaise avec les membres des différentes délégations de la Commission de l'océan Indien".
"Comme partout ailleurs, il y a de la violence à Rodrigues. Les raisons de la violence, est multiple : évolution de la société, contexte économique difficile, les problèmes sociaux… A Rodrigues, il y a eu deux morts au cours de ces dernières années. Et, nous avons eu une cinquantaine de cas de violence, qui en général, ne sont pas très graves".
"Nous sommes surtout confrontés à l'abandon du toit conjugal par les mari et père. Souvent, ils sont obligés de partir de chez eux pour aller chercher du travail à Maurice. Sa femme et ses enfants se retrouvent alors seuls, et ce avec toutes les difficultés économiques que cela entraîne. Ils se retrouve ainsi dans une situation précaire".
"Il y a les enfants qui sont laissées chez les grands-parents. Mais lorsque les grands-mères ou grand-pères meurent, ces enfants qui sont totalement livrés à eux-mêmes, sont victimes d'une grande violence économique et sociale. Ces personnes n'ont pas le choix que de rejoindre notre structure d'accueil".
"Il y a aussi des cas de violences physiques envers les femmes. La situation reste pour l'heure, sous contrôle. Nous avons trois structures qui s'occupent de la question Genre. En ce qui concerne la famille, nous mettons l'accent sur la prévention, services, conseils, accompagnement des couples…"
"Nous intervenons aussi après des situations de violence, notre structure peut accueillir une dizaine de femmes et d'enfants. Nous construisons actuellement un autre centre avec une plus grande capacité d'accueil. Nous avons également un dispositif pour le développement de l'enfant".
"Nous sommes ici pour voir les dispositifs mis en place à La Réunion, et aussi pour partager l'expérience rodriguaise avec les membres des différentes délégations de la Commission de l'océan Indien".
"Comme partout ailleurs, il y a de la violence à Rodrigues. Les raisons de la violence, est multiple : évolution de la société, contexte économique difficile, les problèmes sociaux… A Rodrigues, il y a eu deux morts au cours de ces dernières années. Et, nous avons eu une cinquantaine de cas de violence, qui en général, ne sont pas très graves".
"Nous sommes surtout confrontés à l'abandon du toit conjugal par les mari et père. Souvent, ils sont obligés de partir de chez eux pour aller chercher du travail à Maurice. Sa femme et ses enfants se retrouvent alors seuls, et ce avec toutes les difficultés économiques que cela entraîne. Ils se retrouve ainsi dans une situation précaire".
"Il y a les enfants qui sont laissées chez les grands-parents. Mais lorsque les grands-mères ou grand-pères meurent, ces enfants qui sont totalement livrés à eux-mêmes, sont victimes d'une grande violence économique et sociale. Ces personnes n'ont pas le choix que de rejoindre notre structure d'accueil".
"Il y a aussi des cas de violences physiques envers les femmes. La situation reste pour l'heure, sous contrôle. Nous avons trois structures qui s'occupent de la question Genre. En ce qui concerne la famille, nous mettons l'accent sur la prévention, services, conseils, accompagnement des couples…"
"Nous intervenons aussi après des situations de violence, notre structure peut accueillir une dizaine de femmes et d'enfants. Nous construisons actuellement un autre centre avec une plus grande capacité d'accueil. Nous avons également un dispositif pour le développement de l'enfant".